ESSAYER -
2003 Cd épuisé
Orchestrations : Jo AKEPSIMAS
Piano : Jo Akepsimas
Guitare : Franck Amseli
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01 -TU TROUVERAS DANS MES CHANSONS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
1.- Tu trouveras dans mes chansons
Mille défaites - quelques victoires,
Et des refrains chargés d’histoire,
Leur parcours a été si long...
Tu trouveras dans mes chansons Peut-être comme un supplément d’âme, Quatre bouts de bois et une flamme, Pour tes hivers... et c’est si bon.
Refrain :
Mais, c’qui fait vivre,
Ce qui rend libre,
Je l’ai puisé dans tes chansons. L’irrésistible,
L’inaccessible...
Étaient aussi dans tes chansons.
2.- Tu trouveras dans mes chansons
De gros nuages comme dans le ciel,
Quelques orages et du soleil,
Toutes les choses ont leur saison...
Tu trouveras dans mes chansons
Un peu comme des poussières d’étoile,
Un souffle pour gonfler ta voile,
Il est si loin cet horizon...
3.- Tu trouveras dans mes chansons
Tous les défis qui font renaître
Quelques jardins secrets peut-être
C’qu’on n’ose pas dire de toute façon.
Tu trouveras dans mes chansons
Les projets fous d’un beau dimanche,
Les roses rouges, les roses blanches,
Celles qu’on met dans le salon.
02 - IL FAUDRA BIEN QUE LE VENT TOURNE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
C’est quand, la fin du Covid-19 ?
Eh oui, pour zigouiller ce coronavirus, le mieux c'est le vaccin. Tu sais : cette piqûre que te fait le médecin ! Son rôle, c'est d'entraîner ton corps à lutter contre la maladie. Le vaccin contre le Covid-19 existe...Yesss ! Faut y aller !!!!
Coronavirus : "Peut-être deux ans compliqués, mais ça va s'arrêter un jour", assure une épidémiologiste
Il faudra sans doute encore supporter la distanciation sociale et les gestes barrières même avec le vaccin, prévient l'épidémiologiste.
" Voilà pourquoi, à un certain moment, ma plume s'est mise à courir, à courir ! C'est vers lui qu'elle courait; elle savait bien qu'il ne tarderait guère à venir. Chaque page ne vaut que lorsqu'on la tourne et que derrière, il y a la vie qui bouge, qui pousse et qui mêle inextricablement toutes les pages du livre. La plume vole, emportée par ce plaisir même qui nous fait courir les routes. Le chapitre entamé, on ignore encore quelle histoire il va raconter; c'est un peu comme ce recoin où, tout à l'heure, je vais tourner en sortant du couvent, sans savoir ce qu'il me réserve : un dragon, une troupe barbaresque, une île enchantée, un amour né de la surprise..."
(Italo Calvino )
« Qu’est-ce que l'espérance chrétienne ? »
Réponse : La plupart des gens comprennent l'espérance comme un vœu pieux, le fait d'espérer quelque chose, mais ce n'est pas ainsi que la Bible la définit : la définition biblique de l'espérance est une attente confiante. L'espérance est la ferme assurance de choses encore invisibles et inconnues (Romains 8.24-25, Hébreux 11.1, 7). C'est un élément fondamental de la vie du juste (Proverbes 23.17-18). Sans espérance, la vie n'a pas de sens (Lamentations 3.18, Job 7.6). Il n'y a plus d'espérance dans la mort (Ésaïe 38.18, Job 17.15). Le juste qui met sa confiance et son espérance en Dieu obtiendra de l'aide (Psaume 28.7) et ne sera pas confus, honteux ni déçu (Ésaïe 49.23). Le juste qui espère en Dieu a confiance en sa protection et en son soutien (Jérémie 29.11) et peut vivre libre de toute crainte et anxiété (Psaume 46.2-3).
Le Nouveau Testament présente l'espérance comme la reconnaissance que Christ est l'accomplissement des promesses de l'Ancien Testament (Matthieu 12.21, 1 Pierre 1.3). L'espérance chrétienne est enracinée dans la foi au salut de Dieu en Christ (Galates 5.5). Elle découle de la présence du Saint-Esprit qui nous a été promis (Romains 8.24-25). Nous espérons la résurrection des morts (Actes 23.6), l'accomplissement des promesses faites à Israël (Actes 26.6-7), la rédemption de nos corps et de toute la création (Romains 8.23-25), la gloire éternelle (Colossiens 1.27), la vie éternelle, l'héritage des saints (Tite 3.5-7), le retour de Christ (Tite 2.11-14), notre transformation à son image (1 Jean 3.2-3), le salut de Dieu (1 Timothée 4.10) et Christ lui-même (1 Timothée 1.1).
Cet avenir béni nous est garanti par le Saint-Esprit, qui demeure en nous (Romains 8.23-25), par Christ en nous (Colossiens 1.27) et par sa résurrection (1 Corinthiens 15.14-22). L'espérance nous pousse à persévérer dans la souffrance (1 Thessaloniciens 1.3, Hébreux 6.11) et elle est le fruit de notre persévérance (Romains 5.2-5). Ceux dont l'espérance est en Christ l'exalteront par leur vie et par leur mort (Philippiens 1.20). Les promesses de Dieu nous remplissent d'une espérance (Hébreux 6.18-19) dont nous pouvons nous glorifier (Hébreux 3.6) et qui nous rend courageux dans notre foi (2 Corinthiens 3.12). Ceux qui, au contraire, ne mettent pas leur confiance en Dieu n'ont pas d'espérance (Éphésiens 2.12, 1 Thessaloniciens 4.13).
L'espérance, avec la foi et l'amour, est une vertu chrétienne éternelle (1 Corinthiens 13.13). L'amour découle de l'espérance (Colossiens 1.4-5). L'espérance produit la joie et la paix en nous, par la puissance du Saint-Esprit (Romains 12.12, 15.13). Paul attribue son appel apostolique à l'espérance de la gloire éternelle (Tite 1.1-2). L'espérance du retour de Christ est le fondement de la purification des croyants (Tite 2.11-14, 1 Jean 3.3).
Refrain :
Il faudra bien que le vent tourne Un jour prochain,
Il faudra bien que le vent tourne
Peut-être demain ;
Il y a là-bas une lumière Viens, allez viens,
Elle est si belle la lumière... Donne-moi la main.
1.- Stratégie médiatique
Ou manipulation Environnement chaotique,
Violence, corruption
Et MENSONGE chronique
Trafics et illusions
Vie nocturne électrique, PARDON !
2.- Consommation et frime, Étrange société,
Qui transforme en victime Ses bourreaux patentés,
SATISFACTION qui rime Avec permissivité DÉSIRS-
PLAISIRS qui priment ASSEZ !
3.- Sauvageons sans repère
Qui ont abusé d’SAHRA Monnayé son CALVAIRE
À peine – 13 ans – je crois “Tourmente” de la MISÈRE
Qui a duré des mois, Dégoût – peine et colère CROIS-MOI !
4.- Une autre manière de vivre, Une raison d’ESPÉRER
Un IDÉAL à suivre, Un défi, un projet,
J’ai même ouvert “LE LIVRE” HISTOIRE EN GALILÉE,
C’est un VENT qui rend ivre D’AIMER !
03 - REGARD
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
1.- REGARD d’enfant bohème, D’adulte-adolescent,
REGARD de matin blême
Ou de soir de printemps.
Entre AMOUR et BLESSURE, Contre vents et marées,
REGARD qui nous rassure, REGARD à cloche-pied.
Vous êtes une source Pour me désaltérer
Dieu se tient à la source C’est là qu’Il m’attendait.
2. REGARD pour ré-écrire Mille et une chansons
Sur ce monde à construire Guetteur des horizons.
REGARD reflet de l’âme, REGARD cloué en croix
Qui s’éteint ou s’enflamme, REGARD qui meurt de froid.
Vous êtes une source, J’y suis venu puiser,
Dieu se tient à la source Et je L’ai rencontré.
3.- REGARD du clown trop triste REGARD aux quatre-cents-coups
Ou qui brouille les pistes Ou interdit de tout.
REGARD qui nous dérange, REGARD de train manqué,
REGARD fleurs ou oranges REGARD à décoder.
Vous êtes une source Que je viens écouter Dieu se tient à la source
Et me fait exister.
4.- REGARD d’enfant PRODIGUE, REGARD “aux pas perdus ”,
REGARD larmes et fatigue, REGARD “ perdu de vue ”.
REGARDS fous de ces Mères Sur la place de MAI.
REGARDS ombre et lumière Miroir pour s’RETROUVER.
Vous êtes une source Qui m’apprend à chanter,
Dieu se tient à la source Et je me sens aimé.
04 - AVEC LE TEMPS...TOUT SIMPLEMENT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
1.- On n’peut pas TOUT et son contraire
Être d’accord sur TOUT’S les idées.
Plaire à TOUT L’MONDE et à son Père
Et puis ÊTRE et AVOIR ÉTÉ.
On n’peut ÊTRE et à la fois FEINDRE
TOUT à la fois MALFRAT et SAINT.
TROP embrasser et BIEN étreindre
Et ÊTRE au four et au MOULIN.
Refrain :
Avec le temps... tout simplement...
Avec le temps, oui, tout s’apprend.
2.- À BON VIN n’est besoin d’enseigne.
L’air ne fait jamais la chanson.
Chacun son penchant qui l’entraîne.
À quelque chose malheur est bon.
Aux grands maux (faut) les grands remèdes.
À beau mentir qui vient de loin.
C’est l’plus intelligent qui cède
Qui aime bien (OUI) châtie bien.
3.- Vient à point ce que l’on désire.
Nul n’est prophète en son pays
Et puis bien faire et laisser dire.
Qui paye ses dettes s’enrichit.
Paroles s’envolent ÉCRITS restent.
Chose promise = chose due.
Et puis : “ALEA JACTA EST...”,
Ne cherchons plus le temps perdu.
4.- Et puis un’ fois n’est pas coutume
Un tien vaut mieux qu’ deux tu l’auras
PRIMUM VIVERE ... on assume...
Qui cherche trouve.....EURÊKA.
Le SAGE n’affirme RIEN qu’il prouve
La colère est courte folie
Mets à profit le jour qui s’ouvre
DEINDE PHILOSOPHARI.
05 - LES MOTS S'ÉTIOLENT ET S'ENVOLENT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Refrain :
Les mots s’étiolent et s’envolent
Reste le langage des fleurs L’image est frivole et s’envole.
On ne voit bien qu’avec le cœur.
1.- Êtes-vous sûrs que le ‘ramage’ Vous décrit bien assurément ?
Êtes-vous sûrs que le ‘plumage’ Donne une idée de vous vraiment ?
2.- L’oiseau, le vent, la fleur sauvage, Disent bien mieux certainement...
Je lis dans tes yeux des messages Que seul je comprends et j’entends.
3.- Les enfants, les fous et les sages Expriment leurs rêves autrement...
Ne jugeons point sur une image Chacun vaut plus évidemment !
06 - HASTA LUEGO
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
1.- À quoi ça sert que j’ te raisonne Puisque t’as décidé d’partir
À quoi ça sert que j’me cramponne Ça peut gâcher nos souvenirs Peut-être un e-mail ... Un téléphone ? On sait jamais, tu peux écrire... ? Mais si la chance t’abandonne
Garde les clés, tu peux r’venir.
Refrain :
Hasta luego !... À bientôt !
Ils sont si beaux ... les souvenirs ! Hasta luego !... À bientôt !
Le plus beau ... reste à venir...
2.- C’ que j’ t’ai prêté, je te le donne
Puisque reprendre, ça s’rait trahir.
Et quoiqu‘il en soit, je pardonne
Sans effacer les souvenirs
Vois tous ceux qui dehors frissonnent
C’est pour eux qu’il faut rebâtir
Mais si là-bas y avait maldonne
Ici toujours tu peux revenir.
3.- Tu vois déjà l’arbre bourgeonne
Il a prévu de refleurir
Je crois mêm’ qu’ l’oiseau chantonne
Il a choisi de repartir.
Que c’ soit l’hiver ou bien l’automne
Y a pas saison pour reconstruire.
Mais si là-bas, y avait personne
Je serais là pour t’accueillir.
07 - AU NOM DU PÈRE ET DU FILS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Le signe de croix date du IIIe siècle et ne se faisait que sur le front jusqu'au VIIe siècle. Il est commun à la plupart des confessions chrétiennes, encore que les protestants le pratiquent moins que les catholiques et les orthodoxes.
Le signe de croix est un des gestes les plus fondamentaux de la prière chrétienne.
Toujours fait au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, il rappelle, en même temps que la mort du Christ sur la croix, la résurrection du Christ, la profession de foi trinitaire.
En prononçant les paroles : « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen. » Dessinant sur lui-même une croix, symbole de la Passion du Christ, le fidèle fait profession de foi chrétienne et s'en remet à la rédemption par le Christ. On dit alors qu'il « se signe ».
Le front, siège de la pensée,
La poitrine, lieu de la santé physique et du cœur,
Et les épaules, représentant la force de vivre et l’activité quotidienne.
Verticalité et horizontalité manifestent également la destination cosmique aux quatre horizons de la Parole de Dieu ainsi que son application intégrale à tous les aspects de notre humanité.
Refrain :
Au nom du Père,
Et du Fils,
Du Saint Esprit - AMEN. Oh ! ...
1.- Au nom des pleurs, au nom des cris,
Au nom de ceux qui nous font SIGNE
Ou écœurés par cette vie.
Au nom de ceux qui restent DIGNES.
2.- Au nom du jour et de la nuit.
Et du PRÉNOM de mon BAPTÊME.
Au nom de mes colères aussi.
De mes rejets, de mes : “Je t’aime”.
3.- Au nom de ceux qui plein d’espoir,
Gardent le nez dans les étoiles.
De ceux qui ont hissé la voile,
Pour atteindre ainsi le GRAND SOIR.
08 - N'AYONS PAS PEUR DU TEMPS QUI PASSE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Refrain
N’ayons pas peur du temps qui passe
N’ayons pas peur... du temps qui vient
À chaque jour suffit sa grâce
N’ayons pas peur du lendemain.
1.- Tellement de choses nous dépassent
Tellement de flou et d’incertain
Aurais-je encore un peu d’audace
Et même la force de faire face
Pour attendre encore le matin ?
2.- Je ne sais pas ce qui m’arrive
Ma seule question c’est : “pourquoi ” ?
À peine le goût de poursuivre
Elle est trop loin cette : “ autre rive ” »
Je vais abandonner, je crois.
3.- La vie est PLUS qu’une aventure
Tellement de DÉFIS, de TOURNANTS
Tout est PRÉCAIRE et rien ne DURE
Je sens maintenant cette usure
De vivre DANGEREUSEMENT.
09.- MON ÂME A SOIF DU DIEU VIVANT (Ps 42, 2-3)
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Ce qui rend ce psaume si beau et si crucial pour nous, c’est que le psalmiste n’a pas soif principalement d’être soulagé de ses peines, de ses circonstances menaçantes ou d’échapper à ses ennemis... ou de les détruire...
Mais il a soif de Dieu !
Ce n’est pas mal de vouloir être soulagé et de prier pour cela. Il est parfois juste de prier pour la défaite des ennemis. Mais le plus important, c’est Dieu lui-même.
Vouloir voir Dieu et être satisfait en admirant et en exultant en Dieu
Quand nous pensons et ressentons avec Dieu dans les Psaumes, c’est le résultat principal : nous en venons à aimer Dieu, et nous voulons voir Dieu et être avec Dieu et être satisfaits en admirant et en exultant en Dieu.
Quand nous voyons le visage de Christ, nous voyons le visage de Dieu. Et nous voyons la gloire du visage de Christ, dit Paul dans 2 Corinthiens 4.4 et 6, quand nous entendons l’histoire de l’Évangile de sa mort et résurrection. Il l’appelle « l’Évangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu ». Ou (verset 6) : « la connaissance de la gloire de Dieu sur la face de Christ. »
Seigneur augmente ma faim et ma soif de voir le Visage de Dieu Père.
Exauce mon désir de Toi.« Comme une biche soupire après des cours d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant. Quand donc pourrai-je me présenter devant Dieu ? » (Psaumes 42.2–3)
Le psalmiste qui murmure ces paroles vit un temps d’épreuve. Et moi, qu’est-ce qui me soutient au temps de la détresse ?
« Mes larmes, c’est là mon pain, le jour, la nuit » (42, 4)
Le Ps 42-43 est une complainte qui traduit le sentiment intérieur d’une âme peinée. Si, comme on le pensait à l’époque, les malheurs sont le signe d’un éloignement de Dieu ou d’un abandon de sa part, voire de son hostilité, le psalmiste devrait, en conséquence, sérieusement douter de la fidélité et de la bonté de Dieu à son égard; c’est du moins ce dont ses ennemis essaient de le convaincre. En effet, il ressent cruellement le vide de son horizon à travers les sarcasmes de ses opposants: « Où est-il, ton Dieu? » (42, 4).
Le Ps 42-43 est donc une supplication qui peut nourrir la prière de toute personne qui, tant aux plans politique et social que psychologique et spirituel, se sent déracinée, méprisée, déprimée, esseulée, abandonnée à ses souvenirs et encline à attribuer aux « vagues » de Dieu les épreuves insupportables et parfois répétées qu’elle doit endurer, et qui n’a plus d’autre recours que de s’en remettre à Dieu. Mais il importe de rappeler que dans la vie de cet homme l’épreuve ne diminue en rien sa confiance et son espérance; bien au contraire, elle l’attise et l’accroît. Quoi qu’on en dise, l’épreuve a souvent cette faculté d’aiguiser le désir spirituel, de créer une ouverture à l’absolu, d’augmenter la soif de Dieu.
Comme un cerf altéré cherche l’eau vive, ainsi mon âme te cherche toi, mon Dieu. Mon âme a soif de Dieu, le Dieu vivant ; quand pourrai-je m’avancer, paraître face à Dieu ?
Je n’ai d’autre pain que mes larmes, le jour, la nuit, moi qui chaque jour entends dire : « Où est-il ton Dieu ? »
Pourquoi te désoler, ô mon âme, et gémir sur moi ? Espère en Dieu ! De nouveau je rendrai grâce : il est mon sauveur et mon Dieu !
J’ai tant besoin de Toi, Seigneur, et Tu ne le vois pas ? Les grandes souffrances se passent de mots : seul un cri sort de mon cœur. Le souvenir des merveilles passées semble dérisoire face à ma détresse, et ton silence ajoute à ma torture. Le « es-tu là pour moi ? » se transforme en « où es-tu ? ».
MON ÂME A SOIF DU DIEU VIVANT (Ps 42, 2-3)
Refrain :
Mon âme a soif du Dieu vivant
Mes yeux recherchent Sa lumière
Est-elle loin cette Rivière
Le puits où peut-être Il m’attend ?
1.- J’en appelle à ceux qui pourtant
Malgré́ les peurs, malgré́ les guerres
Restent PRIANTS, restent sincères,
Et donnent un SENS au PRÉSENT.
2.- J’en appelle à ceux maintenant
Qui tiennent bon et qui espèrent
Et restent sûrs, par quel mystère
De l’endroit où IL est PRÉSENT.
3.- J’en appelle à ceux qui souvent
Offrent un regard de lumière
On dit qu‘ils sont sel de la terre
“Ils” témoignent de LUI vraiment.
10 - À PARTAGER TON PAIN
Paroles et musique :Françis LALANNE
11 - SEL DE LA TERRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
1.- Voici mes jours anxieux de guetteur de Lumière
Quand peu à peu la vie me réapprend la vie
Et voici mon désir d’être sel de la terre.
Quand pourtant mon passé, abîme l’aujourd’hui.
Refrain :
SEL DE LA TERRE LUMIÈRE DU MONDE
Mais pas sans Toi, MARIE Mais pas sans Toi,
Sel de la terre
Lumière du monde
Mais avec Toi, MARIE Oui avec Toi.
2.- Voici mes jours trop froids et mes obscurs exodes,
Mes unifications et mes résurrections.
Voici quelques chansons ou refrains à la mode
Ceux qui ont oublié : l’essentiel, le profond.
3.- Voici quand je reprends, voici quand je redonne.
Voici mes mots tabous, mes tièdes arguments.
Ces heures de tombeau où l’on est plus personne.
Ces jours où l’on ne sait, là où Dieu nous attend.
12 - SI SEULEMENT TU ÉTAIS LÀ
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
1.- Si seulement Tu étais là,
Je pourrais Te confier ma peine
Et puis mes espérances vaines
Ou mes bons moments d’autrefois.
Je voudrais tant que tu sois là
Tu sourirais de mes fredaines
Te souviens-Tu de la fontaine
Lorsque je t’ai parlé de moi ?
Refrain : Du du du...
Si seulement tu étais là ! (bis)
2.- J’aimerais tant que tu sois-là
Dans ces moments insupportables
Toi, tu écrirais sur le sable
Et tout s’apaiserait, je crois.
Las, je t’attends depuis des mois
Au fond de mon palais de marbre
Ou même perché dans un arbre
Ou encore au pied d’une croix.
Refrain : Du du du... J’aimerais tant que tu sois là ! (bis)
3.- En attendant que tu sois là
J’écris des poèmes et des fables
Et puis, j’ai même mis la table :
Oui, deux couverts, comme autrefois.
Mais que m’arrive-t-il parfois ?
J’entends “ Tes ” mots dans mes silences
Une présence dans l’absence
Peut-être même est-ce TA VOIX ?
Refrain : Du du du...
Peut-être même est-ce TA VOIX ? (bis)
4. (Bouche fermée)
Refrain : Du du du... Peut-être même, est-ce ton pas ?
Du du du... Moi, je suis sûr que c’est TON PAS.
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